Ainsi, lorsqu’une association de défense de l’environnement et du patrimoine (et pas la moindre) saisit la justice pour régler un différend, la porte des bureaux de la première magistrate de la ville, notre maire, se ferment, quels que soient les sujets à aborder (le recours contre la modification du PLU n’était évidemment pas à l’ordre du jour de notre rendez-vous). C’est une conception singulière de la démocratie. Est-ce là une manifestation de la gouvernance exemplaire qui nous avait été promise le 12 mars ?

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